Porsche 911 GT1 Test 1997

Black
  • 81041 Porsche 911 GT1 Test 1997
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Porsche
911 GT1 Test 1997
Black
AUTOart 89770
1/18 - Monté métal
Réf. 81041
avec ouvrants
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Porsche 911 GT1

En 1996, le règlement du championnat GT1 imposait d’avoir une voiture de série sur laquelle étaient basées les versions de course, comme la McLaren F1 ou la F40 d’alors. Porsche contournait le problème en réalisant une voiture créée uniquement pour la course, et adaptée par la suite en voiture de série pour son homologation. L’exploitation du règlement fut poussée à l’extrême et la version civile de la bête n’était que très peu différente de sa soeur de course. L’année suivante, la concurrence s’adaptait, Mercedes arrivait avec la CLK-GTR, également conçue pour la course, McLaren dévoilait la version longue de sa F1. La firme de Stuttgart prit la décision logique de faire évoluer la 911 GT1 dès la fin d’année 1996, pour préparer le championnat FIA-GT qui remplaça le BPR en 1997. Ces modifications, principalement aérodynamiques, voient, entre autres, l’apparence de la voiture adopter les optiques de la 996 qui sera commercialisée l’année suivante. Malgré tout, La 911 GT1 se révéla moins performante que la concurrence, et des résultats en dent de scie, tout comme un manque de fiabilité firent qu’en 1998, Porsche partit d’une page blanche pour réaliser la 911 GT1-98. Auto Art nous présente la version test de la 911 GT1 Evo, utilisée en 1997 et avec les nouvelles optiques. Mais le plus impressionnant sur cette reproduction se trouve sous le capot moteur. Lorsque la bête est désossée, que ce soit à l’avant comme à l’arrière, les bras de suspension apparents et entièrement articulés laissent rêveur. On ne se lasse pas de l’actionner tant les détails sont impressionnants, jusqu’à l’axe des roues arrières qui entraîne les deux roues malgré l’inclinaison variable de la suspension ! Les détails fourmillent, et ce modèle, tout de noir vêtu car en version test, nouveau moule chez Auto Art, annonce sûrement des versions aux couleurs de guerre, utilisées par l’usine ou des écuries privées. On la préfère avec les entrailles apparentes !

Article issu du n°47 de MINAUTO mag'

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